Myster B a toujours baigné dans les arts, commençant vers 6 ans par des cours de batterie au conservatoire municipal de ...
Myster B a toujours baigné dans les arts, commençant vers 6 ans par des cours de batterie au conservatoire municipal de Béziers, suivis par cinq ans de solfège ponctués de cours de guitare classique, pour finir par 14 ans d’art dramatique. Toujours muni d’un stylo et de quelques feuilles de papier, il écrivait tout ce qui lui passait par la tête jusqu’à être édité dans les années 90 avec son roman fantastique « Géhenne ». Mais les arts sont multiples et Myster B n’a jamais pu s’arrêter à un seul type. Spectacles, reportages, courts métrages, romans et nouvelles, chansons, musiques et dessins ont toujours rythmé sa vie. Il est aussi passionné d’histoire, notamment celle de la Bête du Gévaudan, sujet sur lequel il travaille depuis 1997 et pour lequel il a créé un site web afin de présenter son travail ainsi que ceux, moins connus, de passionnés comme lui. Bien qu’ayant plusieurs fois animé des ateliers théâtre dans diverses écoles (et même au conservatoire municipal de Béziers en 2003/2004), réalisé plusieurs courts-métrages et reportages, participé à un album musical dans les années 2000 (Locombia de Fred Hoarau), Myster B n’a décidé de devenir professionnel de son art qu’en 2022 alors qu’il travaille avec son ami de toujours Monsieur K sur leur saga « Les chroniques Anachroniques » depuis 2013. Basé sur un emploi du temps assez carré, Myster B et Monsieur K font des séances de travail communes une fois par semaine et écrivent chaque page ensemble. Monsieur K dessine ensuite de son côté puis envoie la page via internet à Myster B qui réalise alors les couleurs, ombrages et autres mises en lumière. Mais c’est aussi et surtout lui qui s’occupe des recherches historiques dont ils ont besoin dans chacun de leurs scénarii. Travailler seul à son ordinateur est une solution qui lui va très bien, lui qui n’a jamais vraiment su travailler en groupe. Il est son propre chef et si quelques fois le prix est un peu cher payé à cause de la solitude, il n’en reste pas moins satisfait de cette méthode de travail en ermite.